Angéline saisit au vol ce qui lui passe sous la plume et en fait des chansons.
On y croise des personnages, des brins d’histoires, d’images, de confidences…
Le piano sensible, vif et complice d’Emmanuel le Poulichet fait la part belle aux mots ; la plume d’Angéline se fait tour à tour caressante, acérée, chatouilleuse…
Quand ces deux là nous embarquent pour un p’tit tour (de chant), les paysages défilent.
On s’y reconnait, on s’y perd, on glisse de l’ombre à la lumière, du tendre au caustique, de la mélancolie à l’amusement…. mais toujours on chemine, en équilibre sur le fil d’une écriture.